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Der Sportjournalisten-Pionier Robin Herman ist im Alter von 70 Jahren gestorben

by Eckhard Goudier

WALTHAM, Mass. – Robin Herman, Journalistin bei der „New York Times“, ist Ende der 70er Jahre, die zu dieser Zeit bereits als erste Journalistin zu einem Jugendinterviewer in ihrem Vestiaire-Après an einer Deckenleuchte beigetragen hat NHL-Spiel.

Sohn Mari, Paul Horvitz, erklärte in seinem Tagebuch, dass Madame Herman in Mardi à leur domicile de Waltham in der Banlieue von Boston, dans le Massachusetts, an einem Eierstockkrebs verstorben war.

«Robin était une journalist «couteau suisse». Elle a couvert les incendies et le sida, la folie de l’or dans le district du diamant et les otages en Iran, l’itinérance et la vie communautaire hippie“, rappelé l’ancien rédacteur en chef du «Times» jeudi dans a Reihe von gazouillis alors, die ihnen Beileid und Souvenirs überreichen sur les réseaux sociaux.

Robin Herman ist ein Journalist, der die Inselbewohner von New York lorsqu’elle et a autre journaliste ont été autorisées à interviewer des joueurs dans le vestiaire — comme leurs homologues masculins étaient généralement autorisés à le faire — après le match des étoiles de 1975 à Montréal.

Robin Herman, in einem Artikel für die «Times» quelques semaines später, zu rappelé kommentieren elle avait Ich hoffte, dass sie «mini-moment de l’histoire du sport» passerait diskretion sind. Au lieu de cela, le vestiaire s’est verwandelte sich schnell in eine «scène de cirque» als «les joueurs se bousculaient pour les serviettes» et les photographes précipitaient sur leurs appareils et les deux femmes journalistes étaient soudainement la nouvelle de dernière heure , at-elle écrit.

„Ce fut un momento important, car il annonçait haut et fort le fait que les femmes journalistes sportives étaient une réalité et qu’il fail to have compte“, schrieb Frau Herman.

Elle ist ein Autor von Missionen bei «Times», ein eigener Schriftsatz bei «The International Herald Tribune» und eine Arbeit bei «Washington Post» in der Abteilung Santé. Außerdem schrieb sie 1990 ihr Buch „Fusion: The Search for Endless Energy“.

Robin Herman wurde 1999 Vizedoyenne für Kommunikation an der École de santé publique de l’Université Harvard und trat 2012 bald wieder zurück.

«Robin a aidé à ouvrir la voie à tant de femmes dans le sport en brisant de nombreuses barriers entre les sexes qui nous ont permis de suivre ses traces», schrieb die Association for Women in Sports Media auf Twitter.

Der 1951 in New York geborene Robin Herman feierte weitere Uraufführungen dans sa vie. Elle a notamment fait partie de la première classe de l’Université de Princeton que a mis femmes.

Outre son mari, elle laisse dans le deuil deux enfants adultes et d’autres parentes. Der „Boston Globe“ berichtete, dass Frau Herman auf einem Friedhof in Cambridge in Massachusetts begraben wurde und dass später eine Gedenkversammlung eintraf.

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