Das Schweizer Bundesgericht hat den Agrochemiekonzern Monsanto zur Abschiebung von 10 Jahren impôts non versés pour avoir verurteilt, die gegen die Regeln der Steuerentlastung après son rachat par Bayer verstoßen haben. Das amerikanische Unternehmen, Hersteller des umstrittenen Herbizids Roundup, wird nach einer Festnahme durch die höchste Schweizer Justizbehörde am 3. Dezember im Kanton Waadt (Westen) mehr als 34 Millionen Franken an Steuern bezahlen.» LIRE AUSSI – Paris: Versammlung gegen die Firma Monsanto
Cet arrêt, dont das Schweizer Fernsehen veröffentlicht RTS s’est d’abord fait l’écho, während Monsanto profitierte, von 2005 bis 2014, d’una wichtige steuerliche Entlastung, lorsque siège se trouvait dans la ville de Morges dans le Vaud canton. Cette exonération du bénéfice net et du capital unmögliche était de «Cent pour cent pour une durée de cinq ans dès la fondation de la société“ und „de cinquante pour cent pour les cinq années suivantes», Selon l’arrêt du Bundesgericht.
Siege zog nach Basel
Cette exonération était toutefois subordonnée à moreieurs règles dont le maintien du siège et de l’activité de l’entreprise dans le canton pendant dix ans à compter de la fin de l’exonération. Mais Monsanto n’a pas respektiert cette Verpflichtung, perdant son Steuerprivileg. Das Unternehmen en effet déplacé son siège à Bâle, dans le nord-ouest de la Suisse, im Jahr 2020, deux ans après avoir été rachetée par le géant allemand Bayer.
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Ein Gericht der Waadtländer avait partiellement donné raison à Monsanto, aber sie können beim Bundesgericht Berufung einlegen, das der Ansicht war, dass der Widerruf der Steuerbefreiung im Einklang mit dem Gesetz und der Anordnung stand, die der amerikanischen Gesellschaft der Zahler les impôts non réglés von 2005 erteilt wurde bis 2014.
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