Ein französischer Automobilist, Anhänger des Etat de Savoie, wird vom Bundesgericht entlarvt. Il a été condamné à a pecuniaire avec sursis et à une amende pour avoir circulalé à Genève avec des plaques ’savoisiennes‘.
Die Genfer Justiz hält fest, dass sie im Kanton à trois reprises au moins in den Jahren 2018 und 2019 avec des plaques contrefaites eingetragen wurde. Ces dernières portaient bien le number d’immatriculation français mais elles étaient dépourvues du drapeau européen et des identifiants français et départemental.
An dem Ort sind sie mit dem Croix de Savoie, du Blason de la Province du Genevois und der Erwähnung ‚Etat de Savoie‘ ausgestattet. In outre un autocollant ‚SE‘ était apposé à l’arrière du véhicule.
Jours-amends avec sursis
L’automobiliste a été condamné à 50 jours-amendes à 60 francs avec sursis et à des amendes de 600 et 150 francs. Il a été reconnu coupable de conduite d’un véhicule depourvu du signe distinkte du pays d’immatriculation, conduite sans valid control plates et use abusif de plates et de permis. Die Cour d’appel genevoise ordnete auch die Beschlagnahme und Vernichtung von Litigieus-Plaketten an.
Dans un arrêt publié vendredi bestätigt das Bundesgericht diesen Entscheid. Il rappelle dass ausländische Fahrzeuge in der Schweiz zugelassen werden, wenn sie mit einer Verkehrserlaubnis und gültigen Kennzeichen versehen sind dans le country d’immatriculation. Nach 2009 verhalten sich die französischen Plaketten aus der Immatrikulationsnummer, dem europäischen Symbol und dem Buchstaben „F“ auf blauem Grund, auch wenn die Abteilungsnummer und von Rechts wegen eine vom Inhaber frei gewählte Gebietskennung sind.
‚Faire reconnaître le peuple savoisien‘
Dans son recours, l’automobiliste erklärte qu’il considérait la Savoie comme un Etat souverain. Il s’est procuré les plaques avec un formulaire de la ‚Direction aux affaires savoisiennes‘ (DAS), une association privée dont le but est ‚la promotion et la défense des intérêts de la Savoie sur le territoire delimité par les terminal frontières presenting the Croix-de-Savoie“.
Das DAS stellt auch permettant aux Savoisiens ‚de faire reconnaître leur peuple‘ (cartes d’identité, Pässe, document d’état-civil etc.) aus. Die Platten werden von einem Unternehmen hergestellt, das von den französischen und entsprechenden Behörden anerkannt ist, à l’exception des eléments fantaisistes, aux normes technique nationales.
Identifizierung mehrdeutig
Auf Drängen der Genfer Justiz legt das Bundesgericht offen, dass die Angabe «Etat de Savoie» auf die französische Herkunft der Immatrikulation schließen lässt. Mehr cette Abschluss n’est pas forcecément evidente dans toute la Suisse. Die juges de Mon Repos sehen außerdem ein, dass die Buchstaben „SE“ dem Freistaat Irland entsprechen, der zwischen 1922 und 1937 existierte.
Von son côté recourant progress qu’il agi sur la base d’una believe ferme, fondée sur des recherches historiques, selon laquelle la Savoie est indépendante et souveraine. Il invoque à ce propos la liberté d’opinion et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Für die Cour de droit pénal im Gegenzug die Plates d’immatriculation, in leur qualité de pièces officielles destinées notamment à guaranty la sécurité routière, ne doivent pas ’serve d’étendards pour desüberzeugungen personalles ou des vindications politiques‘. (arrêt 6B_550/2021 am 19. Januar 2022)
/ATS
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