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Edith Bruck, l’une des dernières survivantes de la Shoah, „a appris l’amour à Auschwitz“ – rts.ch

by Rafael Simon

Edith Bruck ist eine der dernières voix, eine der derniers grands témoins der Shoah. Dans „Le pain perdu“, ins Französische übersetzt von René de Ceccatty, l’écrivaine italienne d’origine hongroise, conte et raconte deportation, puis la libération, was auch eine Krankheit ist.

„Le pain perdu“ doit son titre à la scène originalelle, pour la jeune adolescent, de l’arrestation de sa famille dans leur village de Tiszabercel, in Hongrie, près de la frontière ukrainienne: sa mère prepare le pain, ce jour disastrous de 1944, als die Gendarmen ihnen die Juifs abnahmen.

Sie ist 13 Jahre alt und wird von den Hongrois-Gendarmen mit ihren Eltern und ihren fünf Geschwistern emmenée. Ses parent et un frère ne reviendront pas des camps. Als Soeurin wurde sie nach ihrer Freilassung durch die Alliés 1945 von Auschwitz nach Bergen-Belsen verlegt.

L’amour au milieu de l’horreur

Edith Bruck dit: „Auschwitz fut mon université“. „Cela peut paraître choquant, mais Edith Bruck ya beaucoup plus appris l’amour que la haine. Certes la haine et l’humiliation y étaient majoritaires, mais il ya eu des lumières dans sa vie“, erzählt René de Ceccatty jeudi dans La Matinale .

Et d’ajouter: „La première fut le soldat qui l’a orientée du côté du camp de travail en la séparant de sa mère que est direkt allée au four crématoire. Edith Bruck s’est débattue pour rester avec sa mère qui l‘ a repoussée, car elle avait compris que ce soldat était en train de sauver la vie de sa fille.“

Le premier livre d’Edith Bruck s’appelle „Qui t’aime ainsi“. „Was für ein récit of deporte porte le mot ‚amour‘ ist grundlegend und ist es, das Edith Bruck für andere Sportarten auszeichnet, schätzt René de Ceccatty. She n’a pas appris la haine, la vengeance ou la rancœur. Mais elle a appris l’amour. C’est ce qui donne la force à ses livres.“

L’italien, une „langue dépourvue de haine“

Edith Bruck erzählt ausserdem von der langen Pérégrination, dem Marsch der Toten, der unmöglichen Rückkehr aus dem Sohndorf Natal, dem Scheitern des Exils in der République tchèque et en Israël. Jusqu’à l’Italie. In Rom traf sie Nelo Risi, Dichter und Filmemacher, Bruder des Filmemachers Dino. Ils ne se quitteront plus jusqu’à la mort de Nelo im Jahr 2015.

„Elle dit souvent: ‚Ecrire est mon oxygène‘. Sie wählte schnell den Italiener, der von Haine abgesetzt wurde, René de Ceccatty, den Erzähler. Ich war problematisch, c’est que le hongrois était pour elle langue de l’insulte raciale. Et elle n’arrivait pas à détacher des cris qu’elle avait entendus, même avant la deportation.“

Propos recueillis par David Berger/vajo avec l’afp

Ich habe den Schmerz verloren„, Editions du sous-sol, 176 Seiten

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