Präsident Jean-Louis Périès stellt die Anklage wegen der vom Islamischen Staat begangenen Erpressungen, der Enthauptungen und der Gewalt in Frage, um zu wissen, ob Abdelsam sie rechtmäßig beurteilt: «Si je legitime ou pas? es hängt davon ab Je n’en sais rien moi de ce qu’ils ont fait»vorgeben-t-il.
-Halten Sie sich auch an das Genre der Praxis?betont der Magistrat.
–Je ne peux pas vous répondre par oui ou non. In Frankreich, avant François Mitterand, il y avait bien la peine de mort et les gens étaient pour, bemerkte Abdelsam.
–Can ne faisait pas l’objet d’une propaganda dans les médias, ce n’était pas filmé, se Müdigkeit le Präsident.
–Oui mais l’Etat Islamique entspricht dem Koran, der islamischen Tradition. Et dans le Coran, ça ça existiert. Si des gens combattent l’islam, alors il ya des captifs.
–L’esclavage a été schafft dans toutes les democraties abfür den Präsidenten.
–Oui mais pas dans l’islam. On ne va pas changer de religion pour faire plaisir aux autres.
L’échange se poursuit, dans un débit très dense.
– Quand l’Etat islamique prepare des actions militaires en Europe, ce n’est pas pour le drapeau noir de l’EI se lever en Europe (…), c’était pour faire cesser des bombardements de la coalition“, sagte Abdeslam.
– Mais une opération militaire, c’est contre des militaires, pas dans une concert hallSoupire Jean-Louis Périès, Rappelant für Ailleurs, die die Frappes Françaises in Syrie n’ont demarré am 27. September 2015, als das Terrorprojekt gut vorbereitet war.
L’avocat d’Abdeslam, Me Ronen se lève, souligne que des frappes de l’opération Chammal, à laquelle participait la France, avaient déjà lieu in Iraq from September 2014. Et Salah Abdeslam d’ajouter, unverschämt: «Monsieur le président, respirons un petit coup.»
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